16.01.16
Only Ones Who Know
4 février 2012.Je rentre du concert des Arctic Monkeys. Je monte en voiture et mets automatiquement mes écouteurs, pour écouter encore et encore ce groupe merveilleux. Bercée par les lumières de Paris et le roulement de la voiture, je commence à somnoler… En aléatoire, mon iPod lance
Only Ones Who Know…
Et là, j’entrais dans un état second.
In a foreign place, the saving grace was the feeling - that it was her heart that he was stealing… Plus rien ne comptait. Le stress, le mal-être, quelle importance ? Il n’y avait que cette musique, et cette sensation de béatitude.
And even if somehow he could have shown you the place you wanted… Je ne réfléchissais plus, je ne pensais plus. Étais-je chez moi, étais-je seule ? Aucune idée. Aucune importance. Le monde pouvait bien faire ce qu’il voulait, je savais que tout irait bien.
But all the little promises they don’t mean much when there’s memories to be made... Un bien-être physique au delà de l’imaginable. Doucement, je me sentais quitter mon corps… Il ne me retenais plus, j’étais bien plus loin. J’étais partout ailleurs, et juste là. Je suis comfort. Le confort, oui, c’est ça que je ressentais… Un confort divin.
Je comprend les drogués, mais j’aimerai leur montrer qu’ils n’en ont pas besoin. Tout est là…
they made it far too easy to believe - that true romance can’t be achieve these days… Les tâches des lumières de la villes perçaient mes paupières. Je suis apaisée. Plus que je ne l’ai jamais été. À quoi ressemble le mal-être ? Je ne m’en rappelle même pas… Et toute la vie, je sais que tout ira bien.
La musique nous sauvera.
And even if somehow they could have sown you the place you wanted… Well I’m sure you could have made it that bit better on your own… You are the only ones who know… Je m’endors.